Directeur de thèse : Christian JUTTEN
École doctorale : Electronique, electrotechnique, automatique, traitement du signal (EEATS)
Spécialité : Signal, image, parole, télécoms
Structure de rattachement : Grenoble-INP
Établissement d'origine : UNIV. TEHERAN
Financement(s) : contrat à durée déterminée ; bourse CROUS ; contrat à durée déterminée ; contrat à durée déterminée ; contrat à durée déterminée
Date d'entrée en thèse : 01/10/2007
Date de soutenance : 21/12/2010
Composition du jury :
M. Jean-Philippe LACHAUX, Président
M. Fabrice WENDLING, Rapporteur
M. Dimitri VAN DE VILLE, Rapporteur
M. Christian JUTTEN, Co-directeur de thèse
M. Hamid SOLTANIAN-ZADEH, Co-directeur de thèse
Mme. Sophie ACHARD, Co-encadrrant
M. Philippe KAHANE, Examinateur
M. Mohammad Bagher SHAMSOLLAHI, Examinateur
M. Gholam Ali HOSSEIN-ZADEH, Invité
M. Laurent VERCUEIL, Invité
Résumé : Les patients pharmaco-résistants sont des candidats pour la chirurgie de lépilepsie dont le but est denlever les zones à lorigine de la crise (SOZ). Toutefois, lenregistrement des crises sur les électroencéphalogrammes intracérébraux (iEEG) est long et compliqué, contrairement à lenregistrement de décharges épileptiques intercritiques (IED). La prévision des SOZs, à partir des IEDs, a déjà été au coeur de plusieurs études, mais dont les résultats manquent de fiabilité. Lobjectif de cette thèse est de proposer une méthode statistiquement robuste destimation des régions dorigine des IEDs à partir d'iEEG. Le point essentiel de cette méthode repose sur la détermination d'un graphe de connectivité différentielle (DCG), qui ne conserve que les noeuds (électrodes) associés aux iEEG qui changent de façon significative selon la présence ou labsence dIEDs. Les résultats préliminaires, obtenus sur cinq patients, sont convaincants, et cette étude ouvre de nombreuses perspectives.