Il existe une grande diversité de langues dans le monde. Pourtant, l'étude des systèmes sonores de ces langues fait apparaître des tendances universelles qui ont donné lieu à une classification internationale : l'Alphabet phonétique international (API).
La perception visuelle est un mécanisme complexe qui met en jeu plusieurs structures : l'oeil, la rétine et le cerveau. La compréhension de ce mécanisme repose sur la modélisation du système visuel humain en vue d'en simuler son fonctionnement.
L'être humain utilise ses poumons et les organes de son conduit vocal pour produire des sons. A l'origine utilisés pour respirer, sucer, déglutir ou mastiquer, ces organes ont vu leur utilisation détournée au cours de l'évolution pour devenir le siège de la production de la parole.
Lorsqu’on rencontre sur son chemin quelque chose de nouveau (objet, idée, ...) il faut pouvoir le nommer. Le nom donné à ce nouvel objet se crée sous l'influence d'éléments familiers ou connus. C'est ce lien, entre l'objet désigné et la réalité perçue, que l'on appelle motivation.
L'étude de la motricité humaine vise à modéliser chaque élément physiologique par un élément mécanique équivalent. Elle s'appuie sur l'estimation des forces internes non directement mesurables (les tensions musculaires) et la prédiction des coordinations liées aux entrées sensorielles (la commande motrice).
Le cerveau joue le rôle d'un véritable chef d'orchestre dans la communication humaine. Il permet d'articuler de manière contrôlée les sons émis afin de leur donner un sens. Il permet aussi de percevoir les messages émis par d'autres.
Résumé du comuniqué.
L’équipe MPACIF du département Parole et Cognition de Gipsa-lab est lauréate du 2e challenge international LIPS2009 organisé dans le cadre de la conférence AVSP (Auditory-Visual Speech Processing) qui s’est tenu à l’université de East Anglia (UK) en septembre 2009.
Lorsqu’on rencontre sur son chemin quelque chose de nouveau (objet, idée, ...) il faut pouvoir le nommer. Le nom donné à ce nouvel objet se crée sous l'influence d'éléments familiers ou connus. C'est ce lien, entre l'objet désigné et la réalité perçue, que l'on appelle motivation.